(Kinshasa, le 22 février 2019)-La libération des prisonniers politiques doit être une urgence pour le nouveau régime, réaction de maître Jean-Claude Katende, président de l’association africaine des droits de l’homme, un mois après l’investiture du président Félix Tshisekedi.
Pour le cas d’Eugène Diomi Ndongala, président de la Démocratie Chrétienne en prison, cet avocat au barreau de Lubumbashi exclut les accusations de viols sur mineures qui pèsent sur lui.
« il est victime de son engagement politique réclamant la conquete de l’imperium du feu Étienne Tshisekedi estimé vainqueur de la présidentielle de 2011 » a-t-il déclaré à nos confrères de RFI.
DÉPÊCHE.CD