(Kinshasa, le 12 novembre 2018)-Le retrait des signatures de l’accord de Genève portant sur la désignations d’un candidat commun de l’opposition suscite des débats considérables dans la classe politique congolaise. Certains s’interrogent, comment un responsable peut renier ou retirer sa signature à moins de 24 heures après l’avoir apposée ? Pour Sindika Dokolo c’est une situation qui met en cause la crédibilité même de la parole donnée.
« Dans un twee, Sindika Dokolo écrit : « Le rôle du candidat commun était de reconvoquer des élections inclusives d’ici 2 ans. En dénonçant leur signature 24h après l’avoir apposée, Felix Tshisekedi et Vital Kamerhe posent la grave question de la crédibilité de leur parole afin de s’acquitter de cette tâche d’ici 2020 ».
Il y a lieu de rappeler que par pression de leur base respective, Kamerhe et Félix Tshisekedi ont décidé de retirer leur signature de l’accord de Genève.
DEPECHE.CD