(Kinshasa, le 13 janvier 2020)-La question de la salubrité de la ville province de Kinshasa préoccupe au plus haut point les congolais. L’opération Kin Bopeto ayant montrée ses limites, l’opinion se pose mille et une question sur la politique de la gestion des immondices dans la capitale. Des propositions fusent de partout pour mettre fin à l’insalubrité à Kinshasa. Pour certains, l’homme ayant montré ses limites, il est important que la femme s’occupe de la salubrité de la ville.
Pour tout ce que représente la femme dans l’entretien d’un ménage, cette question mérite d’être posée en ce moment où la ville de Kinshasa se transforme en véritable dépotoir.
La dégradation de l’environnement dans la ville laisse beaucoup à penser sur les compétences des animateurs que la ville offre après la vérité des urnes.
Cet état de chose devrait interpeller les femmes congolaises afin d’entrer en jeu en s’intéressant vivement à la gestion active de la chose politique grâce notamment aux nombreuses compétences qu’elles possèdent.
Dans le cadre de ses activités tel que l’autonomisation de la femme, l’union congolaise des femmes avec l’Onu femmes ainsi que l’ambassade du Canada multiplient des appels pour interpeller les femmes congolaises à se lever et à participer activement à la politique pour donner les meilleurs d’elles.
Cet appel vaut son pesant en ce moment proche de l’an un de l’alternance politique où il semble que la touche de la femme serait un atout majeur dans l’amélioration de plusieurs aspects de la vie politique en RDC.
Kevin Inana & Cédric Beya